-

Avril 2015

COMPTE RENDU du 14 Avril 2015

Informations de GENEANET

La nouvelle version de « Sauvons nos tombes » est disponible

sauvvons_nos_tombes_vign.jpgConnaissez-vous notre seconde application gratuite pour smartphones et tablettes, consacrée à la sauvegarde des photos de sépultures ? « Sauvons nos tombes », comme son nom l’indique, vous permet de photographier toutes les tombes d’un cimetière simplement et rapidement. Une deuxième version est disponible, voyons ce qui change.

Les tombes finissent toutes par disparaître, et avec elles les noms, dates et autres informations qui y sont inscrits. C’est pourquoi nous avons créé le projet « Sauvons nos tombes » : une application connectée aux bases d’ancêtres de Geneanet grâce à laquelle chacun peut facilement photographier des cimetières entiers (ou partiels).Application_Sauvons_nos_tombes.pngD’un simple clic et grâce à un accès wifi, synchronisez les photos de votre smartphone avec Geneanet, elle seront automatiquement publiées sur le site. Le relevé des noms peut alors commencer grâce à la participation de tous les internautes.
Les dernières nouveautés :

  • possibilité de visualiser des statistiques de toutes les photos prises
  • accès depuis l’appareil aux photos publiées sur Geneanet
  • accès direct à la page qui récapitule l’avancée du projet, sur Geneawiki

 

Rappel des fonctions de base :

  • choix du cimetière de proximité (dans un rayon de moins de 20 kilomètres de l’endroit où vous vous trouvez) : si le cimetière n’est pas trouvé, créez un projet à son nom.
  • photographie des tombes une à une, avec plusieurs vues possibles par sépulture : le but est bien évidemment de pouvoir lire tous les noms qui sont inscrits et donc de photographier tous les côtés.
  • Synchronisation et publication instantanée de vos photos avec Geneanet en un clic (il faut bien entendu être connecté).
  • Possibilité d’effacer mes photos stockées sur votre appareil si vous n’avez pas choisi de le faire au moment de la synchronisation…

Aujourd’hui, après six mois d’existence de l’application, ce sont plus de 250 000 tombes qui ont été photographiées, alors si vous avez quelques heures à perdre, n’hésitez pas, participez à la sauvegarde de la mémoire grâce à l’application « Sauvons nos tombes » !

Télécharger l’application « Sauvons nos tombes » :

 

google_play.jpg android_store.png

  version Kindle Fire sur Amazon

sauvons_nos_tombes_1.jpg sauvons_nos_tombes_2.jpg

 

Un post-it virtuel gratuit pour vos recherches !

vignanno.jpgIl vous est probablement arrivé, lorsque vous visitez un arbre en ligne, de vouloir prendre des notes sur ce que vous lisez. De la même façon, sur les fiches de votre propre arbre, vous pouvez avoir besoin d’ajouter quelques notes de travail. Geneanet a créé pour vous un système de post-it virtuels destiné à faciliter vos recherches.

  • Vous ne retrouvez plus ce dos d’enveloppe ou ce papier de brouillon noirci de notes à propos de cet arbre que vous avez visité la semaine dernière ?
  • Vous n’avez pas le temps de fouiller en long, en large et en travers les nouvelles informations sur un couple d’ancêtres que vous annonce l’alerte du jour ?
  • Vous avez oublié sur quelle fiche et quel arbre vous avez vu cette mention de sources très complètes il y a à peine un quart d’heure, pressés que vous étiez de découvrir cette nouvelle branche ?

 

Les post-it sont faits pour vous !
Le principe est simple : sur TOUS les arbres de Geneanet, vous pouvez laisser des notes grâce à des post-it virtuels, et les retrouver à tout moment pour revenir quand vous le voudrez étudier la généalogie qui y est publiée.
Vos notes sont bien entendu totalement confidentielles*. Vous pouvez en laisser autant que vous voulez, alors n’hésitez plus, usez et abusez de ce service gratuit et bien pratique, il suffit de cliquer sur le menu « Post-it » présent partout sur les arbres en ligne.

post-it.jpg

Pour retrouver les post-it de votre propre arbre, utilisez le menu de la barre de couleur :

post-it-arbre.jpg

Pour retrouver tous les post-it déposés sur les arbres que vous avez visités, utilisez le menu « Ma généalogie » partout sur Geneanet :

post-it-tous-arbres.jpg

* vous pouvez néanmoins décocher la case prévue à cet effet, au pied du post-it : sur un autre arbre que le vôtre votre note sera envoyée par messagerie au propriétaire de l’arbre, sur le vôtre les personnes ayant un accès éditeur pourront la consulter.

>>source généanet

 

Près de 90 000 noms de déportés désormais indexés sur Geneanet

logo_fmd.jpgConnaissez-vous la Fondation pour la Mémoire de la Déportation ? Grâce au travail formidable mené par cette association, ce sont aujourd’hui plus de 89 000 noms de déportés de la Seconde Guerre mondiale, avec la mention des convois dans lesquels ils ont été déportés, qui est accessible sur leur site. Nous avons souhaité indexer ces noms afin que vous puissiez découvrir leur site plus simplement, via les moteurs de recherche de Geneanet.

La rubrique « Ressources externes » de Geneanet semble sans doute anecdotique lorsque vous faites une recherche sur Geneanet, elle ne doit pourtant pas être négligée !

Son principe est simple : vous y trouverez des résultats en provenance de divers sites web dont le contenu mérite d’être mieux connu. Comme Google le fait avec tout l’Internet, Geneanet est donc en mesure d’indexer les noms présents sur ces sites afin de vous proposer un lien vers eux.

deportes.jpg

Il suffit de cliquer sur le pictogramme représentant un globe pour être ensuite dirigé, après passage via un petit descriptif, vers le site qui contient le nom recherché.

La Fondation pour la Mémoire de la Déportation a été créée en 1990. Elle est présente sur Facebook, via son blog ou via son site web, et elle s’attache au quotidien à entretenir le devoir de mémoire grâce à son centre de documentation de Caen, ouvert au public et qui contient une bibliothèque de nombreux ouvrages. Parmi ses autres activités, elle recense aussi depuis sa création d’innombrables témoignages, audio (certains au format mp3, à écouter ou télécharger, avec les biographies des personnes les ayant fournis), ou vidéo. La Fondation travaille aussi au recensement de tous les lieux où ont pu être internés les déportés avant leur départ, en France.
fmd.jpgEnfin et c’est ce qui intéressera le plus le généalogiste, le Livre Mémorial créé par la Fondation en 1996 et qui possède son propre site web, a pour objectif de recenser tous les déportés partis de France, classés par transports et par ordre chronologique. Au total, cela représente 89390 personnes sur 363 listes réparties en six grandes catégories :

  • Les départs des zones occupées
  • Les départs de la zone annexée
  • Les départs depuis le territoire du Reich (hors l’Alsace et la Moselle)
  • Les « Hors transports »
  • Les cas de persécution pris en compte
  • Les enfants nés en déportation

Pour chaque résultat trouvé, diverses informations sont à votre disposition : l’état civil du déporté, son numéro matricule ou sa date de première déportation, son parcours de déportation, sa situation (disparu, décédé, libéré, rentré ou non connu), sa date et son lieu de libération ou de décès.
La Fondation ajoute sur son site un avertissement très important :

« Cette base de données se veut évolutive. Les informations présentées seront actualisées périodiquement au rythme des observations qui nous seront signalées et de l’avancée des travaux de recherche de l’équipe de Caen. Vous êtes donc invités à nous transmettre vos corrections et compléments accompagnés, si possible, de documents (extraits d’actes de naissance et de décès, en particulier pour les déportés rentrés de déportation, témoignages, photos…). »
Alors, si vous avez dans votre famille des témoignages à apporter, n’hésitez pas, car si le devoir de mémoire est la règle de base de tout généalogiste qui se respecte, il l’est particulièrement dans cet épisode effroyable de l’histoire de l’humanité. Nous espérons grâce aux moteurs de recherche de Geneanet, vous permettre ainsi d’ajouter une petite pièce à cet édifice.

 

Fondation pour la mémoire de la déportation

http://www.bddm.org

ou

http://www.geneanet.org

Y a t-il des soldats de la Grande Guerre sur votre arbre en ligne ?

1418.jpgConnaissez-vous le projet « Nos Ancêtres dans la Grande Guerre », lancé par Geneanet il y a six mois et qui a obtenu l’agrément de la Mission du Centenaire ? Son principe est simple : chacun peut signaler sur son arbre, tous les « poilus » qui y figurent, afin de constituer une base de données unique en son genre : celle des participants à la Grande Guerre, qu’ils soient morts au combat où qu’il aient survécu au conflit.

Comment procéder :

1/ Repérez les soldats de la Grande Guerre sur votre arbre

a) vous les connaissez ? Il vous suffit de vous rendre sur leur fiche, sur votre arbre. Ouvrez le menu « Fiche » et choisissez « Signaler sa participation à la guerre de 14-18 ».

14-18_menu.jpg

b) vous ne les connaissez pas ? Nous pouvons vous proposer une liste de soldats (non exhaustive en fonction des dates de naissance), vous pouvez la consulter en utilisant le menu « Participants à la Grande Guerre”. Attention, il ne s’agit que de suggestions, les enrôlés volontaires trop âgés, ou les soldats dont vous n’avez pas renseigné la date de naissance, ne figureront pas dans cette liste : le menu se situe dans le menu Généalogie, rubrique “Autour de l’arbre” :

participants

Cette liste, rappelons-le, concerne tous les soldats ayant pu participé au conflit, qu’ils soient morts pendant celui-ci ou qu’ils en soient revenus saufs.

Son principe est très simple : en face de chaque nom, deux boutons “Ignorer” et “Confirmer”.

Le premier retire de la liste la personne, le second vous permet de renseigner son domicile et son régiment.

Important : si vous ignorez une personne, cela n’est pas définitif et vous pourrez toujours la rajouter via la fiche de l’arbre. Bien entendu, la même personne dans un autre arbre pourra être validée par son propriétaire, cette liste ne concerne que votre propre arbre.

 

2/ Signaler un soldat

Après avoir cliqué sur le menu « Signaler » de la fiche ou de la liste de suggestions, un petit calque s’ouvre, qui vous demande de préciser si le soldat était Français ou étranger. Nous ne dédaignons bien sûr pas les soldats qui n’étaient pas Français, vous pouvez tout à fait ajouter votre ancêtre belge, canadien, allemand, anglais ou australien, mais faute de base de données des lieux et des régiments du monde entier, les précisions le concernant seront limitées.

Si votre ancêtre était Français, vous pourrez alors ajouter la ville où il demeurait lorsqu’il a été mobilisé, ainsi que le ou les régiments dont il a fait partie. Si vous ne les connaissez pas, vous pourrez y revenir ultérieurement, le menu « signaler » étant accessible à tout instant.

NB : malgré tous nos efforts, il est possible que certains régiments manquent à l’appel. Merci de nous les signaler via les forums.

14-18_signaler.jpg

Une fois que vous avez validé, un petit encart apparaît sur votre arbre. Attention, notez que celui-ci ne figure que sur la fiche de la personne (deuxième menu de l’arbre) et pas sur l’arbre graphique… (mais cela évoluera).
Cet encart reprend les informations que vous avez saisies, en précisant s’il était mort ou simple participant. Nous avons également prévu un lien vers l’actualité du jour sur le mini-site « Nos Ancêtres dans la Grande Guerre ».

14-18_fiche.jpg

3/ Obtenir les renseignements manquants :

Vous ne savez pas où votre aïeul a été mobilisé, ni dans quels régiments il a été affecté ?

Cela est relativement simple à trouver : le domicile est signalé soit sur les fiches de Mort pour la France (au pied de la fiche est indiquée où a eu lieu la transcription de l’acte de décès, a priori l’endroit où il habitait), soit sur la fiche matricule du soldat.

Pour retrouver ces deux documents, consultez notre tutoriel en vidéo « reconstituer le parcours d’un soldat en 14-18« .

Merci à tous pour votre participation !

document de Genanet voir le site ici

 

Retrouvez la maison de vos ancêtres grâce au cadastre

cadastre.jpgSi vous vous êtes déjà rendu sur un site d’Archives départementales, vous aurez probablement remarqué la rubrique « cadastre ». Un grand nombre de départements la propose et tout le monde a jeté un oeil à la commune de ses ancêtres, pour voir à quoi ressemblait l’étendue des bâtiments à l’époque de nos ancêtres. On peut bien sûr aller plus loin et retrouver la maison de ses ancêtres, en voici un petit exemple.

« Connaître l’étendue et la nature des biens de chacun, en faire l’évaluation, se révèle très vite nécessaire afin de répartir équitablement la contribution foncière. C’est l’origine de l’institution du cadastre, remontant à la plus haute Antiquité. » Cette définition que l’on trouve sur Wikipédia définit parfaitement le rôle et l’utilité du cadastre. Modernisé, cadré et institutionnalisé par Napoléon en 1807, le cadastre est aujourd’hui accessible très simplement par quiconque, sinon en ligne, du moins sur place aux archives départementales.

Pour les généalogistes, l’ancienneté du cadastre permet en gros de remonter jusqu’à la génération de ses ancêtres nés pendant la Révolution, entre la cinquième ou septième génération donc, ce qui représente un nombre de familles assez important, de 16 à 64 !

Malheureusement, si la plupart des archives départementales publient leurs feuillets cadastraux (les emplacements des bâtiments et parcelles, routes, cours d’eau), très rares sont ceux qui publient aussi les tables alphabétiques. Ces tables permettent de faire correspondre le numéro d’une parcelle à ses propriétaires successifs. A partir de là, il n’est pas très compliqué de retrouver la maison ou les terrains ayant appartenu à ses ancêtres (ou reconstituer l’histoire de la maison que l’on occupe !).

Voici un exemple de la procédure à suivre, pour un cas situé dans les Alpes-Maritimes, département qui publie les tables alphabétiques.

Sur la table alphabétique, on trouve, classé par ordre alphabétique, le propriétaire du bien, suivi d’un numéro de folio de la matrice cadastrale : ici, le folio 701.

table_alpha.jpg

Il suffit de consulter ensuite la matrice cadastrale (il peut y en avoir de plusieurs sortes : propriétés foncières, propriétés bâties ou non bâties) au folio indiqué pour trouver la liste des propriétaires (à gauche) avec le numéro correspondant à la parcelle d’un bien (à droite).

Si les propriétaires ont changé de nom (autre famille et pas simple héritage) des renvois permettent d’aller à la bonne page.

Dans notre exemple, il s’agit d’un terrain, ou plus précisément d’une « aire de labour ». Nous n’avons pas mis l’intégralité du document, les colonnes manquantes concernant la contenance imposable et/ou les revenus de la parcelle.

Le folio 701-803 donne le nom de plusieurs membres de la famille Noble ayant succédé les uns aux autres, avec les années concernées (le nom est rayé quand la propriété est transférée). Sur la droite, chaque parcelle possédée est indiquée avec l’année où elle est devenue la propriété de la famille (la « mutation ») et sur la droite son nom, ici « Canorgues », son type : vigne, aire, labour, maison, etc. et le plus important : le numéro de la parcelle, numéro que l’on trouve sur le plan. Ceux que nous cherchons ici sont les 799, 800 et 801 (un peu effacés mais reconnaissables – les numéros qui se suivent correspondent en général à des parcelles contigües) :

matrice_cadastrale_lieux.jpg

Muni de ces numéros, il ne nous reste plus qu’à repérer sur le plan leur emplacement, ici encadré en rouge.
cadastre-napoleonien.jpg
Une fois l’emplacement repéré, il peut s’avérer utile de consulter le cadastre actuel (en ligne sur le site cadastre.gouv.fr) pour repérer les nouvelles routes, voies de communication, évolution des parcelles :

cadastre-actuel.jpg
Puis on terminera en faisant un petit tour sur Google Maps, en mode « Earth » si la zone a été photographiée, pour obtenir une superbe vue satellite de la maison/du terrain tel qu’il est aujourd’hui (n’oubliez pas Street View quand cela est possible, ce qui n’est pas le cas ici) :

google-earth.jpg

Il ne reste plus qu’à se rendre sur place et pourquoi pas, à demander au propriétaire actuel s’il veut bien vous laisser photographier sa maison, ce qui n’est sans doute pas la partie la plus simple à réaliser, à moins qu’il soit lui aussi passionné de généalogie !

NB : pour obtenir une concordance parfaite des zones entre le cadastre napoléonien, le cadastre actuel et une vue Google Maps comme ci-dessus, il est nécessaire de faire pivoter vos images et de les mettre à la même échelle, cela peut demander des manipulations de précision sur un logiciel de retouche d’image comme Photoshop. Evidemment cela n’est pas nécessaire pour retrouver l’emplacement d’une maison !

 

> liste des archives départementales en ligne (nous réaliserons prochainement une carte des départements proposant leur cadastre)

> le cadastre actuel en ligne
Avertissement : si le cadastre n’a pas encore été numérisé ou s’il ne contient pas les tables alphabétiques, il vous faudra vous rendre sur place pour en demander communication

Pour vous aider en vente

Cadastre et généalogie à Paris et grandes villes

Auteur :

M.-O. Mergnac, V. Aubert, C. Renaudin


Produit vendu par : Archives et Culture

Prix : 10 euros

Ce livre vous explique comment chercher « intelligemment »

Autre livre en promotion

Armorial Impérial sous Napoléon III

De Philippe Lamarque


Reconstitution inédite de l’armorial impérial sous Napoléon III (contient plus de 550 blasons aquarellés).

Prix : 139€ -38% =

85€

 

Quelques nouvelles d’archives

Archives du Tarn
Elles ont mis en ligne les recensements de 1806 à 1911
http://www.archives82.fr

Archives de l’Afrique équatoriale
Une partie des archives ont été transportée à Aix en Provence (ANOM) et ce qui a été conservé sur place à Brazzaville vient d’être mis sur site
Vous y trouverez l’inventaire de ce qu’ils ont gardé<
https://archivescolonialesbrazzaville.wordpress.com

Archives de Haute Savoie
les mappes sardes en ligne ceux sont les plans cadastraux les plus anciens 18 ème siècle
Ces plans sont accompagnés de différents registres qui fournissent des descriptions très détaillées de chaque parcelle : noms et statuts des propriétaires, superficies et natures de terrain, ressources disponibles…
http://archives.cg74.fr

Archives de la Charente
les fiches matricules sont en ligne gratuites ainsi que l’état civil
http://www.archives16.fr

Archives de la Vendée
L’état civil s’augmente de 20 ans donc consultation jusqu’en 1912 (mais que 6 cantons sur 31 un début)

Archives municipales de Lille
Tous les actes de naissances, mariages et décès entre 1901 et 1912 ainsi que les tables décennales entre 1893 et 1912 de Lille et des communes rattachées en 1858 (Fives, Esquermes,Moulins, Wazemmes sont maintenant numérisés et mis en ligne
http://archives.lille.fr

Archives du Puy de Dôme
Les recensements et le cadastre sont en ligne soit 245 000 images
http://www.archivesdepartementales.puydedome.fr

Archives Nationales
site de Fontainebleau
la salle de lecture est fermée suite à des problèmes de solidité des bâtiments…….
Seules les demandes de recherche peuvent être instruites.
Pour tout renseignement relatif à l’accès au site de Fontainebleau, vous pouvez contacter les Archives nationales au numéro suivant : 01 64 31 73 00, ou par mail : communication.archivesnationales@culture.gouv.fr

Archives de la SNCF à Béziers
Le fil d’Ariane a un volontaire pour aller consulter mais plusieurs démarches sont à faire avant.
Nous contacter pour avoir plus de renseignements.
Par ailleurs, des dossiers de carrière de cheminots sont conservés
aussi par les Archives Nationales du Monde du Travail à Roubaix.
http://www.archivesnationales.culture.gouv.fr/camt/index.html

Assistance Publique des Hôpitaux de Paris
Les registres de population des hospices et hôpitaux de l’AP-HP, tenus depuis 1701, contiennent les noms, prénoms et état civil de chaque personne qui a séjourné à l’hôpital, ainsi que la cause médicale de son admission ou de son décès. Les registres de 1701 à 1870 sont consultables en ligne.
Aux archives elles mêmes, car non encore numérisés, peuvent être consultés de très nombreux documents concernant les personnels de santé et les patients.
(il y a quelques perturbations sur le site actuellement)
http://recherche.aphp.fr


Laisser un commentaire